« Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n’est pas victime ! Il est complice ». Georges Orwell


jeudi 15 décembre 2011

Fusion ADQ-CAQ: Vive les mariés! La suite

Recyclage

Dans Le Devoir: « À force de grappiller ici et là pour former sa coalition, monsieur Legault découvrira peut-être que tous les déchets ne se transforment pas forcément en compost. »

Bien dit, monsieur Desrosiers!

*** 

Vous aimerez celle-ci:


Ou celle-ci:

De droite à gauche: madame l'Autruche, M. Deltell, M. Legault, M. Khadir; à l'arrière: M. Charest et madame Marois

mardi 13 décembre 2011

Fusion CAQ-ADQ: Deltell va de l'avant


Le chef de l'Action démocratique du Québec (ADQ), Gérard Deltell, doit annoncer aujourd'hui la disparition prochaine de son parti de l'échiquier politique québécois et le ralliement des forces adéquistes autour de la Coalition avenir Québec (CAQ).

Le chef de la CAQ, François Legault, et lui doivent officialiser aujourd'hui bras dessus, bras dessous l'annexion de l'ADQ à la CAQ au cours d'une conférence de presse à un jet de pierre de l'Assemblée nationale, à Québec.

samedi 10 décembre 2011

Entre doutes et certitudes

Nouvelles certitudes

À l’heure actuelle, le Québec est drôlement servi en partis politiques :
L’Action démocratique du Québec (ADQ) de droite et fédéraliste;
Le Parti libéral du Québec (PLQ) et la Coalition Avenir du Québec (CAQ) tous deux de centre-droite et fédéralistes;
Le Parti québécois. (PQ) de centre gauche et semi-souverainiste;
L’Option nationale (ON) de centre-gauche et indépendantiste-souverainiste;
Québec Solidaire-NPD de gauche et souverainiste-fédéraliste (bicéphale et hybride). 
Parti indépendantiste  (PI) de centre gauche et nationaliste 

Si je comprends bien, on compte alors quatre (4) partis plus ou moins fédéralistes, trois (3) partis plus ou moins souverainistes et deux (2) seuls foncièrement indépendantistes. 

J'aimerais faire une petite mise au point au sujet de l'âge de certains partis qu'on se plaît à traiter de  "vieux" partis. D'abord, le PLQ né en 1867 n'a plus grand croûtes à manger. 

Quant au Nouveau Parti Démocratique (NPD) n'a de nouveau que le changement qu'il a inspiré sous la gouverne de son chef, Jack.  Fondé en 1961, ce parti a alors maintenant ... 51 ans. 

Mais enfin, allez savoir pour pourquoi on aime tant qualifier le Parti Québécois de "vieux" parti alors qu'il n'a été fondé qu'en 1968. Ce qui en fait tout de même un jeune parti (plus jeune que le NPD, en tout cas) avec se 44 ans bien sonnés. 


 
Madame Marois

On ne peut la blâmer pour tout, mais une ombre la suit depuis longtemps  et il est difficile de cerner de quel côté du soleil, il faut s'y prendre pour la comprendre. Parfois, on a l’impression qu’elle dit une chose sortant de son hémisphère gauche et d’autres fois, de son hémisphère droit. De Jean Chrétien, on aurait dit qu'il parlait des deux côtés de la bouche, lui.

Ma question qui tue : pourquoi ne s’en prend-elle jamais à Paul Desmarais? De mémoire, il me semble qu’à maintes reprises elle aurait pu le faire, notamment lorsqu’on accusait Jean Charest de se laisser influencer par Power Corporation. Ce qui laisse un goût amer, pour ne pas dire un arrière-goût de suspicion sur la relation entre elle et l’homme tout puissant qui dirige les destinées du Québec,  via son présent Premier ministre de gouvernement.

Il est loin d’être évident que madame Marois soit en position de faire l’indépendance du Québec au moment opportun. Son aile la plus indépendantiste ne lui pardonne pas cette mollesse. Encore-là, elle n’est pas sans savoir qu’il sera difficile, sinon voire impossible même d’y songer, étant donné la situation extrêmement volatile des nations encore souveraines dans le monde actuel, mais pour combien de temps?

Doutes

Bien qu’on le souhaite, y aspire et l’espère de tous nos voeux les plus chers, il est difficile de croire qu'on puisse encore avoir une chance de devenir indépendants, puis souverains, alors qu’en ce moment  le rouleau-compresseur de l’Élite ou Nouvel ordre mondial semble plus déterminé que jamais à écraser les États-nations sous les dettes, et partant de là, dissoudre leur souveraineté au profit de celles des banques?

À mon humble avis, il faut soit porter des lunettes roses ou ne pas en porter du tout, pour croire encore possible et réalisable ce grand projet de devenir un pays dans le concert des nations, alors que l'avenir de chacune d’entre elles est présentement de moins en moins certain. 

Dommage, mais compte tenu de toutes nos peurs, nous sommes quelques décennies en retard; il est clair qu'il aurait fallu y penser bien avant, de sorte qu'on ait pu au moins en jouir pendant un certain temps ...

Espérance!

jeudi 8 décembre 2011

Autruchement parlant ...

Certaines caricatures de Garnotte me font craquer. .Les messages écrits sur  les pancartes tenues par les autruches ...

samedi 3 décembre 2011

Ministre de la Défense royale canadienne: Peter Mackay à la pêche

32 000 $ l'heure: mon revenu de l'année ...!!!

"Et avec les F-35, il ira à la chasse aux canards" dixit le pilote.

vendredi 2 décembre 2011

Les municipalités du Québec adoptent un code d'éthique


Enfin, un bonne nouvelle!

En vertu de la Loi sur l'éthique et la déontologie en matière municipale, entrée en vigueur l'année dernière, les municipalités locales et régionales de comté devaient adopter, avant vendredi, un code d'éthique applicable aux élus municipaux.

Selon le président de la Fédération des municipalités du Québec (FMQ), Bernard Généreux, c'est mission accomplie.

« La très grande majorité des municipalités ont adopté leur code. En ce qui nous concerne, [la FMQ] devait former 6400 élus d'ici juin prochain, en ce moment il y a plus de 5500 élus qui ont été formés, ça suit le rythme prévu », affirme-t-il.

Cette semaine, l'avocat et conseiller en éthique et gouvernance, qui a lui-même formé des élus, écrivait pourtant une lettre ouverte dans le quotidien La Presse soutenant que « seulement 10 % [des municipalités] possédaient [un code d'éthique] jusqu'à tout récemment ».

Il dénonce également la technocratisation de l'éthique et soutient que plusieurs élus ne sont pas favorables à cette initiative.

« Malheureusement, face à une date butoir relativement serrée, les villes n'ont pas eu l'opportunité de mettre en place une véritable démarche, se contentant d'adopter pour la grande majorité des “copier-coller” rédigés par une poignée de firmes d'avocats qui ont le quasi-monopole du secteur municipal », écrivait-il.

Le président de la FMQ n'est cependant pas de cet avis.

« C'est exagéré de dire ça, le processus est engagé à peu près partout à ma connaissance, on va y arriver », rassure-t-il en rappelant que les cours d'éthique ont créé un nouveau marché « très compétitif » de formateurs.

« Je ne sais pas si M. Riendeau est entrepreneur en éthique... », ajoute-t-il.

Le code des élus doit porter sur l'indépendance de jugement de ces derniers à l'égard des intérêts personnels, du favoritisme, de la malversation, des abus de confiance ou autres inconduites, des dons et autres avantages, de l'utilisation des ressources de la municipalité et de l'après-mandat.

jeudi 1 décembre 2011

Là où la Charité s'appelle par son nom


Première d'une série de bonnes actions du Père Libéral Québécois et de ses reines.